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Avec le fondateur du mouvement Khat Achahid opposé à la direction du Polisario, ils ont, entre autres, évoqué la question de l’accord de pêche UE-Maroc et les prétentions du Polisario qui ne cesse de déclarer qu’il est l’unique représentant légitime des Sahraouis.
«La discussion était longue, franche et fructueuse. Elle a porté essentiellement sur la partie habilitée à bénéficier des retombées économiques du traité de pêche», assure Mahjoub Salek dans une déclaration accordée au site d’information «www.yabiladi.com ».
Il a saisi l’occasion de cette réunion pour éclairer l’opinion publique européenne et internationale et crier à qui veut l’entendre que la «direction du Polisario ne représente pas les Sahraouis».
En effet, la question de la légitimité revêt une importance particulière pour les amis de Brahim Ghali, sachant que la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), dans ses deux arrêts de 2016 et 2018, n’a pas reconnu au Front la légitimité de représenter les Sahraouis.
D’ailleurs, à la réunion de Lisbonne, le 6 mars dernier avec Horst Köhler, la délégation marocaine comptait parmi ses membres les présidents des régions Laâyoune-Saguia Al Hamra et Boujdour-Oued Eddahab, tous deux originaires de la province.
Mahjoub Salek a également mis en garde l’UE contre le fait de tomber dans le piège et de négocier directement avec le Polisario, argumentant cette mise en garde par le fait que «la direction du Polisario n’hésitera pas à détourner à son profit les compensations financières comme elle a détourné les aides humanitaires internationales, pour asservir, davantage les habitants des camps et les corrompre.
Il a aussi saisi l’occasion de sa rencontre avec la délégation de l’UE pour demander aux diplomates européens d’accorder à Khat Achahid le droit de soumettre des propositions sur la question du Sahara au Parlement européen et à la Commission européenne.